L’ACET (Accélérateur de création d’entreprises technologiques) est fier d’annoncer la signature d’un partenariat le 15 mai 2018 avec PULSALYS, la Société d’Accélération et de Transfert de Technologies (SATT) affiliée à l’Université de Lyon, en France. L’entente annoncée aujourd’hui vient systématiser et officialiser une collaboration amorcée depuis quelques mois déjà, et permettra ainsi d’approfondir et de renforcer la coopération entre les deux accélérateurs.
Essentiellement, le but de cette entente de collaboration est d’ouvrir les écosystèmes entrepreneuriaux et d’innovation afin d’accompagner et de soutenir les entreprises issues des deux accélérateurs dans leurs démarches de commercialisation outre-mer.
« En tant qu’incubateur de technologies innovantes français, unir nos forces avec celles de l’accélérateur d’entreprises technologiques de référence au Canada représente une formidable opportunité de mettre en synergie nos approches et nos réseaux outre-Atlantique au service du déploiement de nos startups. Cela se concrétisera dès l’automne 2018 avec l’accueil d’entreprises canadiennes à Lyon pour se familiariser à l’écosystème de la SATT et au marché français. » déclare Sophie Jullian, Présidente de Pulsalys.
L’ACET et Pulsalys unissent leurs efforts pour favoriser l’expansion commerciale de leurs entreprises
Pour M. Ghyslain Goulet, Président directeur général de l’ACET, « ce partenariat est une magnifique occasion pour l’ACET et PULSALYS d’échanger des meilleures pratiques en matière d’accompagnement d’entreprises technologiques. Mais, avant tout, c’est une chance en or pour les entreprises de l’ACET de bénéficier d’un accompagnement de premier plan de la part d’un accélérateur très bien établi afin, l’espère-t-on, de percer les marchés français et européens ».
Rappelons que cette entente s’inscrit dans le sillage d’un accord stratégique signé le 21 novembre 2016 entre l’Université de Sherbrooke et l’Université de Lyon, dans le but de renforcer leur collaboration sur les leviers de l’innovation et de l’entrepreneuriat. L’accord stratégique avait entre autres permis la création de structures d’accueil réciproques pour les entrepreneurs issus des incubateurs affiliés aux deux universités.